EASE ON DOWN THE ROAD! 1978
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EASE ON DOWN THE ROAD! 1978
Scarecrow: " Success, fame, and fortune, they're all illusions. All there is that is real is the friendship that two can share. "
Dorothy: That's beautiful! Who said that?
Scarecrow: [modestly] I did.
Afin de résumer:
Vers 17 / 18 ans , MIKL commençait à réfléchir à sa situation.
Des rêves de carrière solo se profilaient à l'horizon mais pour y accéder , il fallait se défaire de l'emprise de Joe et ça ce n'était pas couru d'avance.
Joseph a toujours veiller à garder l'unité familiale et ce , même si Jermaine était resté chez Motown
MIKL avait vu plusieurs fois , à Broadway, la pièce "THE WIZZ" qui était interprétée avec brio par Stéphanie Mills (il était fan de cette comédie musicale, entre autre, mais aussi de
Stéphanie.. )
Née en 1957, Stéphanie avait débuté sa carrière à l'âge de 9 ans dans les comédies musicales
Elle interpreta Dorothy (THE WIZZ) au théâtre de 1975 à 1979
Stephanie Mills spectacle THE WIZZ
Bien que , remarquée par Jermaine, elle sorti un album chez Motown (album très guimauve pour une jeune fille mais elle n'était que l'interprète de titres imposés..) c'est des années + tard qu'elle s'imposa comme chanteuse reconnue et renommée dans le monde de la musique. Quoi qu'il en soit, le rôle au cinéma était prévu pour elle...
Programme de la comédie musicale avec S. Mills
Soit!
Il en était que ,par un accord avec Universal, Berry Gordy avait acheté les droits de THE WIZZ et que l'un de ses collaborateurs, Rob Cohen, tentait d'en faire un film à petit budget.
Pendant ce temps, Diana Ross avait , également , envie de prendre sa carrière en mains et de se détacher de l'emprise de Berry Gordy. Elle voulait absolument devenir actrice
Elle avait joué précedemment dans Mahogany et dans Lady sings the blues (vie de Billie Holyday) mais cela était des productions Motown.
Lorsque Rob Cohen lui parla du projet prévu avec Stephanie Mills, elle vit une belle opportunité et fit des pieds , des mains (et du reste!OHHHHHH LA VILAINE! ) afin de convaincre Gordy de lui donner le rôle principal et ce , bien que ce dernier trouvait que c'était une folie !
Ca ne l'a pas fait du tout mais alors... pas du tout!
Diana Ross avait 33 ans et , à l'origine, Dorothy est une institutrice de 23/24 ans
Sydney Lumet voulait confier le rôle à qqu'un d'autre mais Rob Cohen voulait en parler à MIKL, ce que fit Diana.Au début , MIKL n'était pas partant car il craignait que Gordy ne le recale au casting étant donné le différent entre le groupe et Motown.Il fut , malgré tout, engagé. Il lui restait donc à affronter Joseph...
Lorsqu'il l'annonça, Joseph acquiesça en lui disant: "Si je ne peux t'en dissuader, fais le mais ne vient pas te plaindre car pour moi, c'est une grave erreur!" Après réflexion,il ajouta:" Lance toi MIKL, saisis ta chance mais n'oublie pas que tu fais partie d'une famille quoiqu'il arrive, la famille c'est l'essentiel"
Ses frères , quant à eux, ne partageaient pas du tout son envie.
Peut être est ce pour cette raison qu'il dit à Rob Cohen: "Je dois jouer dans ce film pour des raisons personnelles, je dois me prouver des choses ainsi qu'à d'autres..." Nous étions en 1978
Rob Cohen
Distribution du film
Diana Ross...............................................................................Dorothy
Michael Jackson..............................................................Scarecrow
Nipsey Russell.........................................................................Tinman
Ted Ross...........................................................................................Lion
Mabel King...............................................................................Evillene
Theresa Merritt......................................................................Aunt Em
Thelma Carpenter.................................................................Miss One
Lenea Horne..........................................................Glinda The Good
Richard Pryor........................................................................The Wiz
Stanley Greene.............................................................Uncle Henry
Clyde J. Barrett..................................... ...........Subway Peddleer
Derrick Bell, Roderick Spencer Sibert........The Four Crows
Kashka Banjoko, Ronald (Smokey) Steven ..The Four Crows
Tony Brealond.............................................................Gold Footman
Clinton Jackson, Charles Rodriguez................Green Footmen
Carlton Johnson..........................................................Head Winkie
Ted Williams..................................................................Munchkin #1
Mabel Robinson...........................................................Munchkin #2
Damon Pearce...............................................................Munchkin #3
Donna Patrice Ingram...............................................Munchkin #4
Harry Madsen.........................................................................Cheetah
Glory Van Scott....................................................Rolls Royce Lady
C'est donc à cette occasion que MIKL quitta, pour la première fois ,la cellule familiale et s'envola pour New York ..Chaperonné , toutefois , par Latoya!
MIKL et Latoya à New York
Il fallait quasi 5 heures au maquilleur pour transformer MIKL, cela l'amusait beaucoup.
Peut être est ce à cette période qu'il prit goût aux déguisements car il lui arrivait de garder son maquillage et se promener sans être reconnu.
Il eu l'occasion de rencontrer plein de personnalités à New York et, par la même occasion, d'élargir son réseau professionnel.
Une rencontre faite à cette occasion allait, quelques temps plus tard radicalement changé sa vie, elle portait le nom de ....QUINCY JONES
MIKL était satisfait de lui car il avait reçu des critiques positives quant à son travail
Le film , quant à lui,dépassa allégrement le budget pour atteindre les 24 millions de dollars en lieu et place des 13 millions prévus!
Dés sa sortie(24 Octobre 1978 aux U.S.A), les critiques furent vives surtout vis à vis de Diana Ross. On trouvait qu'elle n'était pas la personne idéale pour jouer ce rôle vu son âge. (entre nous, il y a eu des dissensions de sa part envers MIKL car ça la rendais folle de rage que lorsque l'on montrait une chorégraphie à MIKL, il captait tout de suite .....Pas elle , elle en devanait dingue et s'énervait sur MIKL qui , par galanterie, fera semblant de ne pas comprendre la choré..)
Joel Schumaker dira même que son interprétation est froide , névrosée et par ailleurs, pas attrayante.
Un autre critique titra: "Qu'est il arrivé à la comédie musicale une fois sortie d'Hollywood?"
Le Groove Book d'Hollywood écrira que ce film signait la fin de la carrière de Diana Ross au cinéma...
Le Time titra même : "Nowhere The Rainbow" (voir article + bas)
Le film a été nominé pour 4 Oscars mais n'en a gagné aucun
C'est à cette occasion qu'il revu Theresa Gonsalvez, une amie qu'il avait rencontrée en 1974 à Las Vegas
MIKL et Thérésa Gonsalvez
Ici, lors de leur première rencontre en 1974
Théresa aujourd'hui :
Malgré l'échec du film(24.000.000 de budget pour 13.000.000 de recettes aux U.S.A), MIKL fut très content d'y avoir joué et bien qu'il se posait mille et une question quant à savoir si le flop était une conséquence de sa prestation , il révèlera + tard que cette expérience lui avait permis d'avoir confiance en lui.
Joseph l'a soutenu dans ses doutes et l'a même défendu lorsqu'un des frères de MIKL émit une remarque désobligenate quant au film.
Joseph lui répondit: "Tu ne critiques pas ton frère car lui, au moins, a essayé. Par contre, toi combien en as tu fait de films????"
******MYTHE DE L'EPOUVANTAIL
ARTICLE DU TIME A PROPOS DU WIZ
THE WIZ
Cinema: Nowhere Over the Rainbow
By HP-Time.com;John Skow Monday, Oct. 30, 1978
Read more: http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,912236,00.html#ixzz169MQTpHG
Directed by Sidney Lumet; Musical Direction by Quincy Jones
So much wit and talent and energy crowd the screen in this lavishly filmed variant of the Oz story that it is depressing to realize that the production never had a chance. The trouble is not that memories are stirred of Judy Garland in The Wizard of Oz, a film so indelibly fixed in the mind that to remake it would be like remaking Gone With the Wind. The Wiz, which came to life first as a Broadway musical, is a cousin of the movie, not a remake. Its independence is firmly based in its cheerful suppositions that Dorothy is a black girl from Harlem and that Oz is downtown somewhere in scary and wonderful Manhattan.
The film's mortal liability is not merely that fantasy is light but money is heavy. Nor is it that in the most expensive film musical ever made (over $30 million), there are sure to be boggy places where what we see is not a fairy tale but a wounded budget projection creeping off to die. The difficulty is not even that by now we are overentertained and grumpy about song-and-dance numbers. (In The Wiz they are bright and clever, but as elaborate as D-day.)
What is wrong is the bankable-star problem. This means that banks will not back a big film unless the star is someone even a banker has heard of. Thus, when you want to cast a black version of The Wizard of Oz, you do not hold an audition for beautiful teen-age black girls who can sing like crazy, though the possibilities of such an audition stagger the imagination. You sign up Diana Ross, who is beautiful, sings Like crazy, and is known to bankers from a career dating back to the early '60s, when she was the lead singer of the Supremes. Ross is 34, so the script calls for a Dorothy who is 24 and a shy schoolteacher. This is awkward, because if the fantasy is to succeed, Dorothy must be childlike enough to be terrified of witches and wizards, and to talk trustingly with a scarecrow, a lion and a tin man. A woman of 24 who is that innocent should not be teaching school.
Never mind, bankable is bankable, so Ross, straining hard to seem as naive as her little dog Toto, is blown by a snowstorm to Munchkin land. This turns out to be the old New York World's Fair Pavilion at Flushing Meadow, where the Wicked Witch of the East has turned hundreds of juvenile spray-paint vandals into graffiti figures. The yellow brick road leads across the Brooklyn Bridge to the World Trade Center, where Richard Pryor reigns as the Wiz. But before Dorothy gets there, she meets a roarious but cowardly lion (Ted Ross) and a marvelous scarecrow (Michael Jackson), hung up on his pole and tormented by rascally birds. Jackson sings a piteous lament, to the effect that "you can't win, you can't break even, and you can't get out of the game." Wiz Composer Charlie Smalls is a gifted comic writer, and soon Nipsey Russell, whose rusty tin man is easily the best characterization of the film, sings an oozy and oleaginous Smalls ballad, Slide Some Oil to Me. To ward the end, awful Evillene, the Wicked Witch of the West (Mabel King), rumbles out a menacing hard-rocker, Don't No body Bring Me No Bad News.
The ballads that Ross has to sing, on the other hand, have dull lines like "If you believe, within your heart you'll know/ That no one can change the path that you must go." Poor Lena Home, as Glinda, the Good Witch of the South, has to suck this same lyrical lemon when, wearing a gruesome blue good-fairy gown, she floats in a starry, process-shot sky. A huge budget corrupts hugely. By this time the viewer has realized that he can't win, he can't break even, and he must get out of the theater.
OUPS!!!!
Le 17 décembre l'album DESTINY des Jackson sortait
Tracklisting
1. "Blame It on the Boogie" Mick Jackson, David Jackson, Elmar Krohn 3:36
2. "Push Me Away" The Jacksons 4:19
3. "Things I Do For You" The Jacksons 4:05
4. "Shake Your Body (Down to the Ground)" Randy Jackson, Michael Jackson 8:00
5. "Destiny" The Jacksons 4:55
6. "Bless His Soul" The Jacksons 4:57
7. "All Night Dancin'" Randy Jackson, Michael Jackson 6:11
8. "That's What You Get (For Being Polite)"
Dorothy: That's beautiful! Who said that?
Scarecrow: [modestly] I did.
Afin de résumer:
Vers 17 / 18 ans , MIKL commençait à réfléchir à sa situation.
Des rêves de carrière solo se profilaient à l'horizon mais pour y accéder , il fallait se défaire de l'emprise de Joe et ça ce n'était pas couru d'avance.
Joseph a toujours veiller à garder l'unité familiale et ce , même si Jermaine était resté chez Motown
MIKL avait vu plusieurs fois , à Broadway, la pièce "THE WIZZ" qui était interprétée avec brio par Stéphanie Mills (il était fan de cette comédie musicale, entre autre, mais aussi de
Stéphanie.. )
Née en 1957, Stéphanie avait débuté sa carrière à l'âge de 9 ans dans les comédies musicales
Elle interpreta Dorothy (THE WIZZ) au théâtre de 1975 à 1979
Stephanie Mills spectacle THE WIZZ
Bien que , remarquée par Jermaine, elle sorti un album chez Motown (album très guimauve pour une jeune fille mais elle n'était que l'interprète de titres imposés..) c'est des années + tard qu'elle s'imposa comme chanteuse reconnue et renommée dans le monde de la musique. Quoi qu'il en soit, le rôle au cinéma était prévu pour elle...
Programme de la comédie musicale avec S. Mills
Soit!
Il en était que ,par un accord avec Universal, Berry Gordy avait acheté les droits de THE WIZZ et que l'un de ses collaborateurs, Rob Cohen, tentait d'en faire un film à petit budget.
Pendant ce temps, Diana Ross avait , également , envie de prendre sa carrière en mains et de se détacher de l'emprise de Berry Gordy. Elle voulait absolument devenir actrice
Elle avait joué précedemment dans Mahogany et dans Lady sings the blues (vie de Billie Holyday) mais cela était des productions Motown.
Lorsque Rob Cohen lui parla du projet prévu avec Stephanie Mills, elle vit une belle opportunité et fit des pieds , des mains (et du reste!OHHHHHH LA VILAINE! ) afin de convaincre Gordy de lui donner le rôle principal et ce , bien que ce dernier trouvait que c'était une folie !
Ca ne l'a pas fait du tout mais alors... pas du tout!
Diana Ross avait 33 ans et , à l'origine, Dorothy est une institutrice de 23/24 ans
Sydney Lumet voulait confier le rôle à qqu'un d'autre mais Rob Cohen voulait en parler à MIKL, ce que fit Diana.Au début , MIKL n'était pas partant car il craignait que Gordy ne le recale au casting étant donné le différent entre le groupe et Motown.Il fut , malgré tout, engagé. Il lui restait donc à affronter Joseph...
Lorsqu'il l'annonça, Joseph acquiesça en lui disant: "Si je ne peux t'en dissuader, fais le mais ne vient pas te plaindre car pour moi, c'est une grave erreur!" Après réflexion,il ajouta:" Lance toi MIKL, saisis ta chance mais n'oublie pas que tu fais partie d'une famille quoiqu'il arrive, la famille c'est l'essentiel"
Ses frères , quant à eux, ne partageaient pas du tout son envie.
Peut être est ce pour cette raison qu'il dit à Rob Cohen: "Je dois jouer dans ce film pour des raisons personnelles, je dois me prouver des choses ainsi qu'à d'autres..." Nous étions en 1978
Rob Cohen
Distribution du film
Diana Ross...............................................................................Dorothy
Michael Jackson..............................................................Scarecrow
Nipsey Russell.........................................................................Tinman
Ted Ross...........................................................................................Lion
Mabel King...............................................................................Evillene
Theresa Merritt......................................................................Aunt Em
Thelma Carpenter.................................................................Miss One
Lenea Horne..........................................................Glinda The Good
Richard Pryor........................................................................The Wiz
Stanley Greene.............................................................Uncle Henry
Clyde J. Barrett..................................... ...........Subway Peddleer
Derrick Bell, Roderick Spencer Sibert........The Four Crows
Kashka Banjoko, Ronald (Smokey) Steven ..The Four Crows
Tony Brealond.............................................................Gold Footman
Clinton Jackson, Charles Rodriguez................Green Footmen
Carlton Johnson..........................................................Head Winkie
Ted Williams..................................................................Munchkin #1
Mabel Robinson...........................................................Munchkin #2
Damon Pearce...............................................................Munchkin #3
Donna Patrice Ingram...............................................Munchkin #4
Harry Madsen.........................................................................Cheetah
Glory Van Scott....................................................Rolls Royce Lady
C'est donc à cette occasion que MIKL quitta, pour la première fois ,la cellule familiale et s'envola pour New York ..Chaperonné , toutefois , par Latoya!
MIKL et Latoya à New York
Il fallait quasi 5 heures au maquilleur pour transformer MIKL, cela l'amusait beaucoup.
Peut être est ce à cette période qu'il prit goût aux déguisements car il lui arrivait de garder son maquillage et se promener sans être reconnu.
Il eu l'occasion de rencontrer plein de personnalités à New York et, par la même occasion, d'élargir son réseau professionnel.
Une rencontre faite à cette occasion allait, quelques temps plus tard radicalement changé sa vie, elle portait le nom de ....QUINCY JONES
MIKL était satisfait de lui car il avait reçu des critiques positives quant à son travail
Le film , quant à lui,dépassa allégrement le budget pour atteindre les 24 millions de dollars en lieu et place des 13 millions prévus!
Dés sa sortie(24 Octobre 1978 aux U.S.A), les critiques furent vives surtout vis à vis de Diana Ross. On trouvait qu'elle n'était pas la personne idéale pour jouer ce rôle vu son âge. (entre nous, il y a eu des dissensions de sa part envers MIKL car ça la rendais folle de rage que lorsque l'on montrait une chorégraphie à MIKL, il captait tout de suite .....Pas elle , elle en devanait dingue et s'énervait sur MIKL qui , par galanterie, fera semblant de ne pas comprendre la choré..)
Joel Schumaker dira même que son interprétation est froide , névrosée et par ailleurs, pas attrayante.
Un autre critique titra: "Qu'est il arrivé à la comédie musicale une fois sortie d'Hollywood?"
Le Groove Book d'Hollywood écrira que ce film signait la fin de la carrière de Diana Ross au cinéma...
Le Time titra même : "Nowhere The Rainbow" (voir article + bas)
Le film a été nominé pour 4 Oscars mais n'en a gagné aucun
C'est à cette occasion qu'il revu Theresa Gonsalvez, une amie qu'il avait rencontrée en 1974 à Las Vegas
MIKL et Thérésa Gonsalvez
Ici, lors de leur première rencontre en 1974
Théresa aujourd'hui :
Malgré l'échec du film(24.000.000 de budget pour 13.000.000 de recettes aux U.S.A), MIKL fut très content d'y avoir joué et bien qu'il se posait mille et une question quant à savoir si le flop était une conséquence de sa prestation , il révèlera + tard que cette expérience lui avait permis d'avoir confiance en lui.
Joseph l'a soutenu dans ses doutes et l'a même défendu lorsqu'un des frères de MIKL émit une remarque désobligenate quant au film.
Joseph lui répondit: "Tu ne critiques pas ton frère car lui, au moins, a essayé. Par contre, toi combien en as tu fait de films????"
******MYTHE DE L'EPOUVANTAIL
ARTICLE DU TIME A PROPOS DU WIZ
THE WIZ
Cinema: Nowhere Over the Rainbow
By HP-Time.com;John Skow Monday, Oct. 30, 1978
Read more: http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,912236,00.html#ixzz169MQTpHG
Directed by Sidney Lumet; Musical Direction by Quincy Jones
So much wit and talent and energy crowd the screen in this lavishly filmed variant of the Oz story that it is depressing to realize that the production never had a chance. The trouble is not that memories are stirred of Judy Garland in The Wizard of Oz, a film so indelibly fixed in the mind that to remake it would be like remaking Gone With the Wind. The Wiz, which came to life first as a Broadway musical, is a cousin of the movie, not a remake. Its independence is firmly based in its cheerful suppositions that Dorothy is a black girl from Harlem and that Oz is downtown somewhere in scary and wonderful Manhattan.
The film's mortal liability is not merely that fantasy is light but money is heavy. Nor is it that in the most expensive film musical ever made (over $30 million), there are sure to be boggy places where what we see is not a fairy tale but a wounded budget projection creeping off to die. The difficulty is not even that by now we are overentertained and grumpy about song-and-dance numbers. (In The Wiz they are bright and clever, but as elaborate as D-day.)
What is wrong is the bankable-star problem. This means that banks will not back a big film unless the star is someone even a banker has heard of. Thus, when you want to cast a black version of The Wizard of Oz, you do not hold an audition for beautiful teen-age black girls who can sing like crazy, though the possibilities of such an audition stagger the imagination. You sign up Diana Ross, who is beautiful, sings Like crazy, and is known to bankers from a career dating back to the early '60s, when she was the lead singer of the Supremes. Ross is 34, so the script calls for a Dorothy who is 24 and a shy schoolteacher. This is awkward, because if the fantasy is to succeed, Dorothy must be childlike enough to be terrified of witches and wizards, and to talk trustingly with a scarecrow, a lion and a tin man. A woman of 24 who is that innocent should not be teaching school.
Never mind, bankable is bankable, so Ross, straining hard to seem as naive as her little dog Toto, is blown by a snowstorm to Munchkin land. This turns out to be the old New York World's Fair Pavilion at Flushing Meadow, where the Wicked Witch of the East has turned hundreds of juvenile spray-paint vandals into graffiti figures. The yellow brick road leads across the Brooklyn Bridge to the World Trade Center, where Richard Pryor reigns as the Wiz. But before Dorothy gets there, she meets a roarious but cowardly lion (Ted Ross) and a marvelous scarecrow (Michael Jackson), hung up on his pole and tormented by rascally birds. Jackson sings a piteous lament, to the effect that "you can't win, you can't break even, and you can't get out of the game." Wiz Composer Charlie Smalls is a gifted comic writer, and soon Nipsey Russell, whose rusty tin man is easily the best characterization of the film, sings an oozy and oleaginous Smalls ballad, Slide Some Oil to Me. To ward the end, awful Evillene, the Wicked Witch of the West (Mabel King), rumbles out a menacing hard-rocker, Don't No body Bring Me No Bad News.
The ballads that Ross has to sing, on the other hand, have dull lines like "If you believe, within your heart you'll know/ That no one can change the path that you must go." Poor Lena Home, as Glinda, the Good Witch of the South, has to suck this same lyrical lemon when, wearing a gruesome blue good-fairy gown, she floats in a starry, process-shot sky. A huge budget corrupts hugely. By this time the viewer has realized that he can't win, he can't break even, and he must get out of the theater.
OUPS!!!!
Le 17 décembre l'album DESTINY des Jackson sortait
Tracklisting
1. "Blame It on the Boogie" Mick Jackson, David Jackson, Elmar Krohn 3:36
2. "Push Me Away" The Jacksons 4:19
3. "Things I Do For You" The Jacksons 4:05
4. "Shake Your Body (Down to the Ground)" Randy Jackson, Michael Jackson 8:00
5. "Destiny" The Jacksons 4:55
6. "Bless His Soul" The Jacksons 4:57
7. "All Night Dancin'" Randy Jackson, Michael Jackson 6:11
8. "That's What You Get (For Being Polite)"
Dernière édition par Admin le Ven 17 Déc - 23:29, édité 4 fois
Re: EASE ON DOWN THE ROAD! 1978
Je n'aime pas du tout ce genre de film, et je n'ai pas trouvé non plus que c'était un bon choix de prendre Diana Ross pour jouer le rôle de Dorothy.
Merci pour ces infos
Bisous
Merci pour ces infos
Bisous
Clea- Messages : 44
Date d'inscription : 02/02/2010
Age : 56
Localisation : Belgique
Re: EASE ON DOWN THE ROAD! 1978
Tu sais ...Moi et Diana....Mais bon!
Disons que j'apprécie sa carrière quand c'est Nile Rogers et Bernard Edwards (du groupe CHIC) qui l'ont relancé. Cà c'est de la bombe avec le riff de guitare, le tempo de batterie lourd et le son de la basse reconnaissable entre tous ....
Sais tu que malgré que sa carrière était au point mort, lorsque Edwards et Rogers lui ont écrit les morceaux , elle ne voulait rien savoir...
Elle faisait des caprices de diva!
C'est Quincy (si je ne me trompe pas ou Gordy???Je ne sais plus) qui a insisté et sa carrière est repartie en flèche...
Elle peut bien leur dire merci, du moins à Nile car Edwards est mort
Je mets la consécration du retour de Diana (MIKL y était of course!)
Mais pour moi, le top de l'album c'est:
Et ça y'a pas en en démordre!
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